Quand les vents, se déchaînent,
Emportant, avec eux dans leurs gouffres amers,
Nos jeunes mélodies du bonheur,
Quand les tempêtes, nous emmènent,
Aux bords des précipices, et, des travers,
Les jours heureux, ne deviennent que rumeurs.
Longue plainte d’automne,
Aux sons monotones
Quand la foudre détonne,
Alors que l’homme lui…fou tout donne…
Et des soleils sidérants, le long de route vertes,
Déambulations les sens aux aguets, en alerte,
Des mers soudainement ouvertes,
Qui se prélassent aux rives désertes…
© Véronique Riera – 2017
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une belle ambiance automnale sous l’égide de Baudelaire Et Verlaine!
Beau partage.
Keep it up.
Quand la poésie cède le pas à une profonde inspiration
qui se confond avec les éléments! Ou plutôt les émotions!
Merci pour ce joli texte.
Adrien.
Merci Véronique pour ce beau et touchant texte
Mes amitiés
Fattoum.
Merci pour vos beaux partages poétiques Véronique !
Votre écriture simple laisse glisser les mots à la lecture avec un bon ressenti et de beaux clichés.
Mes amitiés,
ALain