D’ un regard en coin, je savoure tes seins de mes yeux bovins,
et c’est en vain que glisse ma main sur le satin d un beau matin qui n’attend rien.
Plaisir champêtre qui ne manque pas d’être un brin coquin.
Tout ça sous les yeux du Maître qui m’envoie gentiment paître.
Être ou marcher au pas d’êtres qui ne me ressemblent pas ?
Peut-être que Satan me donnera des cornes avant le trépas ?
Il y a là débat.
©Anne Camby
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Bonsoir bravo Anne superbe texte.