Quand les yeux ne veulent pas se fermer
Car le cœur et l‘âme sont tourmentés
Quand l‘insomnie rime avec mélancolie
Annonce une nuit sous le signe d‘une tragédie..!
Car le cœur et l‘âme sont tourmentés
Quand l‘insomnie rime avec mélancolie
Annonce une nuit sous le signe d‘une tragédie..!
Mes paupières sont lourdes, mais pas assez
Pour que mon esprit daigne se reposer
Je compte les heures qui passent lentement
Le temps se délecte de mes tourments..!
Pour que mon esprit daigne se reposer
Je compte les heures qui passent lentement
Le temps se délecte de mes tourments..!
Comme un grain de sable coinçait dans un sablier
J‘attends impatiemment de passer de l‘autre côté
Dans le pays des rêves où tout est possible
Un monde ou ma tristesse deviendrait invisible..!
J‘attends impatiemment de passer de l‘autre côté
Dans le pays des rêves où tout est possible
Un monde ou ma tristesse deviendrait invisible..!
Mais, je reste éveiller et la soirée ne fait que commencer
Les idées noires se bousculent dans ma tête sans arrêt
Une nuit en garde à vue et même si j‘avoue tous mes crimes
L‘insomnie me condamne à écrire d‘autres rimes..!
Les idées noires se bousculent dans ma tête sans arrêt
Une nuit en garde à vue et même si j‘avoue tous mes crimes
L‘insomnie me condamne à écrire d‘autres rimes..!
Sur mon visage les larmes dévoilent mes vers inachevés
Car ma plume, ne sait dire à quel point tu m‘as blessé
Les étoiles pour seul témoin de ma descente aux enfers
Et la lune si fière, juge la futilité de mes prières..!
Car ma plume, ne sait dire à quel point tu m‘as blessé
Les étoiles pour seul témoin de ma descente aux enfers
Et la lune si fière, juge la futilité de mes prières..!
L‘aube se rapproche enfin pour chasser l‘obscurité
Et un rayon de soleil apparaît, je retrouve mon allié
Le jour se lève enfin et j‘oublie ma nuit blanche
Et un rayon de soleil apparaît, je retrouve mon allié
Le jour se lève enfin et j‘oublie ma nuit blanche
Sur mon insomnie il prendra sa revanche..!
©Fouzia El Mellah
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j’aime beaucoup
On ressent profondément votre poème : l’insomnie abreuvant l’encre de cette nuit, cette déchirure qui nous étreint, la souffrance si pudiquement évoquée et la lumière qui rejaillit …
Splendide