Un ami pour demain.
Pourquoi t’est encore là à me regarder comme ça avec ta mine fatiguée des noirceurs de l’âme.
Moi qui pensait à tort qu’au-delà, apprivoiser l’au -delà ensemble, embarqué dans les peurs qui entament la trame.
Celle qui sue toujours couchée la douleur des intérieurs sans jamais partager l’anxiété qui ronge au plus profond.
Une aubaine des jours à mes nuits torturées, aux pleurs glacés, pour expulser la rage de l’immobilité de mon être qui ne touche le fond.
Putain ! Bouge ! Bouge j’en peux plus de voir ta gueule déprimée, trainer, chez moi, tu ne me fait que chialer dans ma bière.
Allez ! Si tu le veux dans mes beuveries vient me revoir et trinquer pour toutes ces années à t’aimer, te consoler pour me rappeler d’ hier.
Au revoir mon amante des matins chagrins, de ces jours ensoleillés à mes yeux l’ondée des incertitudes.
Au revoir mon amante du désir des riens, à trop chercher le feu les années tombe en décrépitudes.
Aller je te pardonne ! Mais si tu reviens. Sache que je ne veux plus que l’amour, l’amour de la vie, l’envie et un peu la mélancolie.
Aller referme la porte, vient en face à face, si tu le peux mon stylo Maudit pour qu’ensemble on s’imprègne de nouvelles philosophies.
2 3/05/17
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