a douăzeci și treia zi Stătuseră trei zile în Creta pentru afacerile murdare ale căpitanului Papadopilos, dar și pentru alimentarea navei cu combustibil. Julien și Virgil nu părăsiseră nava de teamă să nu fie recunoscuți. Compania celor două fete, Jade și Alice, le ajutase. Jade era amanta lui Julien și Alice, amanta lui Virgil. Se apropiau deja de Strâmtoarea Dardanele și de Bosfor, aproape de sfârșitul călătoriei. Oricât au îndurat până atunci, încă o săptămână sau două, după cum le spusese căpitanul, nu însemna mare lucru. Fiind o navă de transport de animale, Garda de Coastă din Italia, extrem de severă, nu urcase pe nava căpitanului Papadopulos (binecunoscut de altfel). Scăpase de fetele răpite și cu banii obținuți cumpărase droguri și țigări, foarte căutate în România. Julien luase pașapoartele lui Jade și Alice după ce plătise prețul. Din păcate, epidemia de virus corona cunoscuse o răspândire fără precedent în toată Italia, amenințând cu închiderea aeroporturilor și a porturilor maritime, ceea ce părea să le strice planurile. De aceea, îl îndemnase pe căpitan să nu întârzie mai mult decât era necesar. Chiar înainte de a pleca, un membru al echipajului, de origine egipteană, arătase semne de infecție și a fost lăsat pe insulă. Deși exista riscul ca și alții să fie infectați, căpitanul Papadopulos nu luase în considerare pericolul. Încerca disperat să-și protejeze propria investiție, în acord cu cei doi pasageri speciali, de la care primise încă două mii de euro. Căpitanul se aștepta la controale mai strânse pe drumul spre Constanța, așa că evitatese toate porturile mici până la ieșirea din Bosfor. – Cele trei poduri peste Bosfor sunt foarte impresionante! spuse Virgil Liderul de patrulă urcă rapid și a examină pașapoartele echipajului. Julien și Virgile își prezentaseră pașapoartele umplute cu bani. – Și nu ai văzut încă nimic! spuse Alice. Vei vedea după intrarea noastră în țară! | le vingt-troisième jour
Ils étaient restés trois jours en Crète pour les sales affaires du capitaine Papadopilos, mais aussi pour alimentation avec du navire le carburant. Julien et Virgil n’avaient pas quitté le navire de peur de ne pas être reconnu. La compagnie des deux filles, Jade et Alice, il les avait aidés. Jade était la maîtresse de Julien et Alice, la maîtresse du Virgile. Ils approchaient déjà du détroit de Dardanele et du Bosphore, près de la fin de leur voyage. Autant qu’ils avaient enduré jusque-là, pendant une autre semaine ou deux, comme le capitaine leur avait dit, ne signifiait pas grand-chose. Étant un navire de transport d’animaux, la gardes côtière italiene, extrêmement sévère, il n’avait pas grimpé le navire du capitain Papadopulos ( bien connu d’ailleurs). Il s’était échappé des filles kidnappées et avec l’argent obtenu, il avait acheté des drogues et des cigarettes, très recherchées en Roumanie. Julien avait pris les passeports de Jade et d’Alice après avoir payé le prix. Malheureusement, l’épidémie de virus covid-19 elle avait connu une propagation sans précédent dans toute l’Italie, menaçant la fermeture des aéroports et des ports maritimes, le chose qui semblait les ruiner leurs plans. Voilà pourquoi, il avait exhorté le capitaine à ne pas être en retard plus qu’était nécessaire. Juste avant de partir, un membre de l’équipage, d’origine égyptienne, il avait montré des signes d’infection et a été laissé sur l’île. Bien qu’existait le risque, que aussi d’autres soient infectés, le capitaine Papadopulos n’avait pas envisagé le danger. Il essayait désespérément de protéger son propre investissement, en accord avec les deux passagers spéciaux, dont il avait reçu encore deux mille euros. Le capitaine s’attendait à des contrôles plus stricts sur le chemin de Constanța, il avait donc évité toutes les petites ports jusqu’à bien partir du Bosphore. – Très impressionnants les trois ponts sur le Bosphore! dit Virgile. – Oui, Julien avait répondu, mais je crois que j’ai vu quatre! A partir de maintenant, frère, rien ne peut pas plus nous arrêter! – Alice me ditait qu’en Roumanie c’est très dangereux aussi! Elle et Jade sont de la Roumanie, si vous ne saviez pas! – Très bien ! Je ne parle pas trop bien le roumain! Les filles nous aideront beaucoup dans la relation avec les Roumains, qui sont corrompus jusque la moelle osseuse! La mer Noire était calme et le navire avançait lentement, grinçant terrifiant, de tous ses charnières rouillés. Près de Constanta, un navire militaire rapide, avec dix hommes à bord, les avait ordonné de s’arrêter. – Le port est fermé! Avec quelles choses, capitain, par ici? – Importation d’animaux, patron! Papadopulos répondit, les saluant militairement. Montez, s’il vous plaît, à bord! Le chef de patrouille grimpa rapidement et examinait les passeports de l’équipage. Julien et Virgile avaient presanté leur passeports bourré d’argent. – Vous deux qui êtes-vous? – Cumpărătorii. Nous vous demandons nous laisser entrer dans le port! Nous naviguons depuis trois mois! Le chef de patrouille avait extrait les argents de ses passeports et les avait mis dans poche. – Bien, des mec, entrez vous aussi vite que vous le pouvez! Si vous quelqu’un vous le demande, bien que je ne pense pas, vous le disiez que le capitaine Apostolescu vous contrôlait! Julien a fait un clin d’œil à Virgile. – De cette façon, tout se passe ici! – Et tu n’as encore rien vu! dit Alice. Vous verrez après notre entrée dans le pays! Virgile avait insisté avec ses yeux sur elle. – Mais avec la police comment nous restons? – Encore mieux que vous ne le pensez! La majorité sont pauvres et l’argent fait des merveilles! Si vous ne sachiez pas, ici les prix ils sont trois à quatre fois plus petits qu’en France! – Avons-nous un endroit sûr pour rester? – Pas de problème. Il y a des milliers de pensions touristiques, famille, bon marché, où personne ne te pose des questions sur santé! Ça suffit un seule passeport de l’un de nous pour toutes, et la police ne contrôle pas les registres d’entrée du quelques pensions touristiques isolés. Le capitaine Papadopulos avait réussi à ramener le navire à terre, maintenant à le peine son équilibre. Il était bien connu dans le port, preuve qu’il avait été reçu avec les applaudissements. |
Ne pas se leurrer. La pseudo-psy offer des pseudo-remèdes pour des pseudo-maladies. Voir la critique des médicaments toxiques, mesme létaux, par Prof. Peter Goetzsche, sur le site http://www.deadlymedicines.com. Dépasser les traumas par des thérapies de bon sens, doux et vraiment-bio.
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