a optsprezecea zi Rezumat
Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adelaide, directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică complicată, condusă de comisarul Marquette. Traversaseră Parisul noaptea, spre Calais, pe A1, aproximativ 300 km, pe un drum infernal, între camioane de marfă și limuzine de mare putere, însă Virgil era un șofer bun și în mai puțin de patru ore au ajuns la Calais, unde își rezervaseră bilete de feribot. Nu au avut nicio problemă la urcarea pe feribot, deși au aflat despre descoperirea corpului Louisei, iar comisarul Marquette menționase despre implicarea lor. În timpul coborârii în portul Dover nu se întâmplase nimic, ceea ce însemna că au scăpat ca prin urechile acului. Călătoria prin Marea Britanie s-a dovedit mai dificilă decât își imaginaseră, pentru că trebuia să conducă pe partea stângă. Julien condusese mașina câțiva kilometri și era pe punctul să blocheze traficul din toată Anglia. De aceea, abandonase în favoarea lui Virgil. Mai aveau un drum lung de parcurs, pentru că trebuiau să ajungă în nordul Angliei, în orașul scoțian Glasgow, unde Virgil avea un unchi, dormeau în hoteluri sau pensiuni. Partea bună era că nu mai trebuiau să evite poliția și puteau dormi în hoteluri sau pensiuni. Existau de asemenea multe baruri și restaurante unde puteau mânca și bea foarte bine.
| le dix-huitième jour Résumé
Virgil Morel, le personnage principal, se rend dans une clinique psychiatrique selon les instructions de son médecin, Julien, un ami de Mme Adélaïde, la directrice de la clinique, avec laquelle il entretient une relation amoureuse tendue. Voulant se débarrasser d’elle, il la tue, mettant tout en place derrière Virgil. Suit une enquête psychologique compliquée, dirigée par la commissaire Marquette. Ils avaient traversé Paris la nuit, en direction de Calais, sur la A1, à environ 300 km, sur une route infernale, entre des camions de fret et des limousines à grande puissance, mais Virgil était un bon conducteur et en moins de quatre heures, ils sont arrivés à Calais, où ils avaient réservé des billets de ferry. Ils n’eurent aucun problème à monter à bord du traversier, même ayant appris la découverte du corps de Louise, et le commissaire Marquette avaient directement mentionné leur implication. Pendant la descente dans le port de Douvres, rien ne s’était passé, ce qui signifie qu’ils s’étaient échappés comme par le chas de l’aiguille. Le voyage à travers le Royaume-Uni s’en fut avéré plus difficile qu’il ne l’avait imaginé, car il devait conduire à gauche. Julien avait conduit sa voiture sur quelques kilomètres et était sur le point de bloquer tout le trafic en Angleterre. C’est pourquoi il avait abandonné en faveur de Virgil. Ils avaient encore beaucoup de chemin à faire, car ils devaient atteindre le nord de l’Angleterre, dans la ville écossaise de Glasgow, où Virgil avait un oncle. Le bon côté était qu’ils n’avaient plus à éviter la police et qu’ils pouvaient dormir dans des hôtels ou dans des pensions de famille. Il y avait aussi de nombreux bars et restaurants où ils pouvaient très bien manger et boire. – Je n’ai rien avec les Anglais, mais je ne les avale pas! dit Virgil en regardant les vieillards qui parlaient et gesticulaient étrangement sur les bords des trottoirs. – Moi non plus! répondit Julien ! De toute façon, nous n’avons aucune affaire avec eux! Tourne , s’il te plait, la radio plus fort! Soudain la voix bien connue du commissaire Marquette, avait rempli le petit espace à l’intérieur de la voiture. – Pas, je n’ai aucune rétention, se confessait en ligne à un journaliste, l’un est Dr Julien, souffrant de graves problèmes mentaux, et autre est Virgil, son patient, sur lequel je lui soupçonne la mort des flics de Oradour-sur-Glane. Les deux personnes sont extrêmement dangereuses. Julien, par exemple, s’est échappé d’un hospice de sécurité maximale et Virgil a fui la scène des meurtres de peur, avant de faire l’objet d’une enquête criminelle. Nous continuons à les suivre, à dresser des barrages routiers, à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour les attraper, mais ce n’est pas facile du tout. Ils se cachent avec beaucoup d’attention, ils sont constamment en mouvement, volent dans les magasins, les stations d’essence etc., et disparaissent. Nous rendons leurs photos publiques dans l’espoir que des citoyens de la république appelleront la police si ils les aperçoient ! – Cherchez nous beaucoup et bien! se mit à rire Julien. N’ imaginez-vous même pas que nous sommes en Angleterre! – Dar fotografiile? demanda Virgil. – Pour rien, maintenant nous avons l’air différent! Et nous n’avons pas été mis sur les listes d’Interpol, comme je vois au téléphone!! Mais cela ne signifie pas que nous ne devons pas faire attention! – Et surtout que nous avons besoin de faux documents! C’est une question de temps! – Seulement si nous les volons , parce que sinon c’est difficile! – Comme? – La plupart des conducteurs laissent leurs documents dans les voitures, alors nous regardons dans toutes les voitures de ceux qui nous ressemblent! – Oui, mais ça dure! – De toute façon, nous n’avons rien d’autre à faire. Nous entrons dans un parking et nous recherchons nos clones! Tu, crois moi, seras ravi de voir à combien d’entre eux nous ressemblent! Ils avaient fait un premier arrêt dans l’immense parking d’un supermarché de Londres. Deux voitures ont attiré leur attention et et ils passèrent à leur inspection. Comme prévu, tous les documents personnels étaient dans boîte à gants, y compris les cartes d’identité ou les passeports. La chance leur avait souri depuis le début. Ils ont trouvé tant de cartes d’identité ainsi que des passeports très proches de leur identité. |
Trouble bipolaire- romain en serie 18 – Aurel Conțu
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