a unsprezecea zi – Casa ororilor
Rezumat Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adelaide, directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică complicată, condusă de comisarul Marquette.
Giganții, îmbrăcați în haine albe, îl lăsaseră la Gardienii îl luaseră imediat. I-au scos hainele și l-au îmbrăcat într-o cămașă lungă, fără nimic dedesubt. Aceasta era regula generală atât pentru bărbați, cât și pentru femei. Apoi i-au tăiat părul la zero ca să nu facă păduchi. Fusese stabilit, chiar înainte de sosirea sa, să stea în aripa pacienților pașnici, considerând că era medic. – Da. Am fost! | onzième jour – Maison des horreurs
Résumé Virgil Morel, le personnage principal, se rend dans une clinique psychiatrique selon les instructions de son médecin, Julien, un ami de Mme Adélaïde, la directrice de la clinique, avec laquelle il entretient une relation amoureusetendue. Voulant se débarrasser d’elle, il la tue, mettant tout en place derrière Virgil. Suit une enquête psychologique compliquée, dirigée par la commissaire Marquette
Géants, vêtus de robes blanches, ils l’avaient quitté à la „La maison des horreurs”, un hospice caché quelque part dans le cerveau des Alpes françaises, dont se parlait à oreille. Ces personnes étaient d’une cruauté inimaginable. Ils avaient été gentils avec Julien, lui expliquant comment il devrait se comporter pour ne pas être en leurs mains. L’hospice n’avait pas de téléphone, ni de connexion Internet. L’Approvisionnement alimentaire et l’équipement se faisaient une fois par mois par hélicoptère. Donc c’était dur. Il ne pouvait pas non plus s’agir de visites. Ceux qui atteignaient ce lieu, n’avaient plus aucun espoir. Entrant à l’hospice, sa nouvelle maison, Julien avait trouvé que ce n’était pas tellement effrayant. L’hôpital avait un air très bien: grandes pièces, généreuses fenêtres, poêles en terre cuite, linbleu, vaisselle en plastique, jeunes et jolies infirmières, médecins amicaux, une vraie communauté. Cependant, les patients semblaient descendre des peintures de Picasso: hommes et femmes aux visages grotesques, dans un permanent mouvement braunien, habillé à moitié ou pas même du tout, exubérants ou trop pensants, évoluant étrange, en une autre dimension , seulement les leurs. Le directeur de l’hospice, le “Maître”, comme lui le ditait tout le monde , était un homme grand, bien fait, entre deux âges , avec le cheveux gras, collés à la tête, et un seul œil fonctionnel (l’œil gauche était complètement blanc), lui avait tendu la main avec un mauvais sourire. – Bienvenue, M. Tapis, je vous attendais depuis longtemps! J’espère que vous l’aimez ici! – Merci j’espère! – Il existe des règles strictes et des punitions dans cette unité médicale! Nos tuteurs vous informeront de tous réglementation aujourd’hui. Avez-vous des questions? – Non, repondit Julien, effrayé par la fausse gentillesse du directeur. Pour le moment ! Les gardiens l’avait pris immédiatement. Ils ont enlevé ses vêtements et ils l’ont habillé dans un longue, chemise , sans rien dessous. C’était la règle générale et pour les hommes et pour les femmes. Puis ils avaient coupé ses cheveux à zéro pour ne pas faire de poux. Il avait été établi, avant même son arrivée, à s’asseoir dans l’aile des patients pacifiques, considérant qu’il était un médecin. C’est comme ça qu’il est entré dans une chambre avec trois hommes, qui ne faisaient pas quelque chose d’autre que courir après les mouches, l’un plus rapide que l’autre. I (Julien n’avait vu pas de mouches à une si grande hauteur), mais c’était explicable. Cela lui était arrivé parfois juste même lui. Ils y avaient été hospitalisés il y a dix ans et ils étaient encore dix. Chacun était suspecté d’avoir tué quelqu’un: épouse, petite amie, maîtresse. Et chaqun, sans exception, avait sa propre histoire. Son histoire était déjà connue, il n’a pas eu à le répéter encore une fois. Les trois l’avait accueilli amicalement le disant lui leur nom. – Louis, heureux! dit le premier, un jeune homme de vingt ans depuis des années, satiné, aux yeux bleus, grand, mais très faible, ayant des traits femelle. – Léo, bonjour! ajouta le second, un peu plus âgé, avec la peau de la couleur de l’olive et des yeux noirs. Êtes-vous vraiment médecin? – Oui. j’ai été ! – Gabriel, bienvenue! murmura le troisième. Il était le plus vieux d’entre eux, myope, sans dents, sec. Êtes-vous marié? – Oui, répondit Julien, pourquoi me demandes-tu? – Personne ne grimpe pas au sommet de la montagne sans hélicoptère ! Tu peux dire au revoir. La mienne ne m’a même pas envoyé de lettre!
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Trouble bipolaire- romain en serie 11- Contu Aurel
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