Le temps est à la vie, ce qu’est l’oxygène au feu.
Un bien des plus précieux.
Un fugace moment épris à contempler ce maître impérieux,
Distribuant ses instants heureux.
Il prend comme il donne; généreux mais juste
A nous enfant de la vie, comme aux montagnes robustes.
Nous apprenant à savoir apprécier ses présents,
Instants éphémères ou durant éternellement.
Et nous, comme deux âmes complices s’embrasant,
En fermant nos yeux de malice sur ce temps fuyant
Pour embrasser, Ô délice, l’éphémère longuement.
Un instantané gravé dans nos cœurs
Un instant damné de bonheur.
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