La paresse sur un été – David Frenkel
Je m’endors sur la suave nonchalance d’un été glissant sur la terre ; le souffle des vagues m’assoupit, l’indolence terrestre grise mon corps ; le sol me tachette de gris quand je m’enfonce en lui. Je rêve du firmament. Il étale l’océan à mes pieds et y plante des bleuets d’été. Ils s’élèvent par … Lire plus