Mémoires, pages 60 à 62 / 311 – Dominique Capo

Les deux fils de nos arrière-petits-cousins nous ont souvent emboîté le pas. Ils nous rejoignaient dans la cour de leur maisonnée. Nous dévalions ensuite la rue principale dans un sens ou dans l’autre. Car ma mère aimait nous concocter des itinéraires détournés. Nous avons à des dizaines d’occasions emprunté le sentier goudronné bordant les parcelles … Lire plus