l’assassinat de Jaurès – Georges Cambon

Á l’assassinat de Jaurès, toute mystique  est têtue. C’était un soir de juillet. Quand pleurent les rizières On entend aux ailes du vent le bruit des canonnières. C’était en juillet, à la fin du repas, le tribun s’est tu. Et ce corps engourdi annonce un monde révolu.   Quand tombe la pluie sur le sol … Lire plus