Assise sur le bord de la fontaine
Elle contemplait l’oiseau
Qui semblait figé dans son envol
Le soleil brillait mais ne chauffait pas
La jeune femme n’avait ni chaud ni froid
Assise sur le bord de la fontaine
Elle contemplait l’oiseau
Tout le village la disait folle
La nuit tombée
La lune viendrait la réchauffer
Elle qui n’avait pas de toit
Assise sur le bord de la fontaine
Elle contemplait l’oiseau
Qui semblait figé devant son école
Il lui revint à l’esprit
Une douce farandole
Son cœur éprit
Pour ce jeune espagnol
Assise sur le bord de la fontaine
Elle contemplait le beau
Ce chant en clé de sol
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Une belle poésie je vois là un charmant tableau amicalement