Souvent, je me demande : pourquoi nous haïssons-nous ?
Souvent, je me demande : pourquoi nous envions-nous ?
Je me demande souvent : pourquoi ce mal, en nous ?
Au moment où seul l’Amour, doit régner partout
Pourquoi n’acceptons-nous pas que l’autre soit différent ?
C’est grâce à lui, c’est grâce à toi que je me situe
Suis-je sujet, suis-je verbe, suis-je complément ?
Dans cette phrase qu’est la vie, dis, me reconnais-tu ?
En citoyens du monde, aimons-nous, aimons-nous
Sans blâme, sans cri et sans chuchotement
Dieu, le tout puissant, le Grand, infiniment
Nous l’ordonne dans ses Livres, Pourquoi faire autrement
Brahim. B
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Le pourquoi n’est plus la question puisque le comment le précède : comment s’aimer nous même à nouveau ? Comment aimer l’autre, notre miroir, notre frère ou sœur d’âme ?
Comment redevenir le compliment d’objet direct de notre vie ?
Dans cette phrase qu’est la vie, dis, me reconnais-tu ? La naissance étant la majuscule par laquelle la phrase commence ; la mort est représentée par le point terminant cette phrase ; le sujet, le verbe et le complément représentent le cours de cette vie !