S ouvent je rêve d’une maman à aimer,
O mbre furtive qui hante mes souvenirs,
P uzzle si difficile à reconstituer.
H umblement tout mon être aspire à te chérir,
I nstinctivement, je me dois de te chercher,
E t je sais que tu ne demandes qu’à m’aimer !
T endre maman que la Vie m’avait offerte,
U n parcours compliqué nous avait séparés
E t nous voilà, tous deux, porte grande ouverte
S ur une route qui cherche à s’illuminer.
M ais les Dieux qui président à nos destinées
A vancent les pièces du puzzle à grand pas
M aintenant, à nous de pouvoir les assembler
E t de tout reconstruire à tout petits pas,
R enouer les liens que certains ont dénoués
E t moi, en fin, avoir une mère à aimer !
Christiane Foglia (Crisis)
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Là où elle se trouve, Sophie (qui a eu droit à un acrostiche qui n’a rien à envier à ceux des grands poètes de tous les temps), doit être contente et fière d’avoir enfanté une poétesse digne d’éloges ! Merci, chère amie, pour cette huitième nouvelle merveille du monde !