Et soudain la porte s’ouvre… – Alan Méryl

Je suis séparé de lui. – Et soudain la porte s’ouvre lorsque je vais le chercher chez sa maman pour le ramener à la maison…
A mon petit Nicolas
Oh mon poète
de qui la vie renaîtra,
j’attends que s’enroulent tes bras
et plongeant dans les ténèbres
je ne vibre plus que pour toi.
Oh mon petit prince
pour qui l’avenir chantera
jailli du fonds de moi
ton corps est mon aura
tu caches les larmes de mon émoi.
Pleure, pleure et ne cesse
de construire des châteaux de sable
à l’heure de la grand messe
tu as des pensées ineffables.
Loin de moi danse tes rêves
portés par le souffle des elfes
éther de vapeur si bref
nul n’aliénera tes mots sur mes lèvres.
Oh mon petit, j’espère t’apprendre dans l’au-delà
quand devant moi s’ouvre la porte
tu t’élances, envolées de mille cohortes
tu resteras toujours mon petit Nicolas.
© – AM – Alan Méryl – 22.01.2018

Nombre de Vues:

64 vues
S'abonner
Me notifier pour :
guest

1 Commentaire
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires
Invité
22 janvier 2018 20 h 40 min

Merci Alan beau et émouvant poème,
Mes amitiés
Fattoum.