C’était pour le “bon vent”
Autrement dit
Par devers le mur dormant
Dans les tiroirs
Des sentiments discrets
Qui filent en longs arpèges
Les allusions secrètes
Scellent des énigmes
Aux faces multiples
L’attente est inhabile
Ne serre rien. Légère, elle flotte
Sans souci d’elle même
Au seuil du mur
L’impossible, l’indécidable
C’était toujours le crépuscule
Et par delà les mers, les frontières
Ce n’était pas l’intime qui s’écrivait
Au contraire il s’évaporait
Où sont les mots majeurs
Tendres et veloutés
Qui enchantaient mes heures?
© 2017 – “Au seuil de l’inaccompli” – Ll Chalzib
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merci Laurelise
pour ce moment de poésie
Oli