S’écrasent entre les pouces nos heureuses illusions de secrets éternels
Des corbeaux déguisés ont dérobé la confidence
Nus lendemains, vides serments
D’un soupir soulagé les anciens murmures ont déserté les conques
Des tornades ventrues sur des rivages nouveaux
Délivrent sans retenue un sable immaculé
Le rideau se referme sur un dernier mensonge
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magnifique, j’ai été touchée
Ce texte poétique est très réussi
douloureux mais puissant
oliver