Petite fable affable
Revenu de tout et prêt à y retourner,
La chose était, las, de notoriété publique,
Un renard confessait tout des défauts innés
Et tares acquises dont cette république
Des forêts, jalouse sans doute, le disait
Des mieux pourvus, ma foi. Ses ruses et mensonges
À côté, passaient dès lors, quitte à défriser,
Pour les plus nobles des qualités. Qu’on y songe !
La chose était, las, de notoriété publique,
Un renard confessait tout des défauts innés
Et tares acquises dont cette république
Des forêts, jalouse sans doute, le disait
Des mieux pourvus, ma foi. Ses ruses et mensonges
À côté, passaient dès lors, quitte à défriser,
Pour les plus nobles des qualités. Qu’on y songe !
Le roué qui courait deux lièvres à la fois
Plus souvent qu’à son tour, à faire ça, espère-
T-il rien moins qu’on le pardonne ? Point. Je crois
Qu’il se modèle ainsi sur ces gens, fils ou pères,
Qui avouent leurs mauvais penchants à tous les vents
Pour s’exonérer, de fait, de ne jamais faire
Aucun effort pour les corriger, quand souvent
Si on faisait comme eux, ça ferait sale affaire !
© Christian Satgé – mai 2017
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Ha je vais faire cela demain, avouer défauts pour continuer avec..
Trop top.
J’adore celui là.. et puis on l’embrasserai bien sur le museau ce nanard
Anne
Bonsoir Christian
Mensonge à demi pardonner
une ruse pour piéger l’espiègle cavaleur
puis qui peu changer un renard bien rusé
le poète peut-être
Douce soirée bises !