En hauteur à regarder les étoiles.
Il y’a forcément pour les cieux.
Un auteur à la plus belle des toiles.
Allumées quand je dors, chaque goutte délicieuse,
Montre que l’émetteur est Très Haut en dehors.
L’univers entier est radieux
‘’Il n’y a point de pinceau ! ‘’
Ni de bavure dans les bords.
L’Homme antenne radio.
Cherche signature autour dans les rebords.
Alors que c’est écrit partout dans la nature.
Il ne la croit pas venir de dieu, mais du hasard en rature.
Malgré la soif de nos deux yeux, qui peut voir une onde ?
La lumière en est une, mais elle nous montre.
Toutes différentes comme les dunes, à l’appel il faut répondre.
A chacune des longueurs, une couleur vient correspondre.
Blanche pour la banquise qui vient à fondre.
Rouge amour pour les cœurs qu’elles visent,
Avec pour ne pas confondre,
Une sonde contre le noir que le mal attise
Bourse de lumière transformée,
En jus de fraises bien mur et de cerises,
Je suis bien informé,
C’est une matière sur laquelle il n’y a pas de prise.
Sous étiquette de fruit,
Le noir de pourriture au marché se déguise.
Pure sont les versets sans bruit que je révise.
Au déjeuner mes idées ne sont pas claires
Petite bouché de mots
Dans mon palais se croit gâteau en éclair.
Elle ne manque pas d’air mais un peu d’eau
Barquette de papier sur une flaque
Ère poussé par le vent se prend pour un bateau
Adorer un lampadaire ou un phare en quiproquo
Mes yeux illuminent un petit cercle autour de moi
Je sais qu’ils sont miroir de la lumière du très haut.
Il a décidé ainsi et c’est son choix car voir est son cadeau.
fou. (Se nourrir de lumière) 28/05