Lorsqu’un parfum n’est plus expressif et qu’un poison n’est plus corollaire, de peur qu’une pensée ne s’égare devant le roi dévasté… Sa Seigneurie lasse, immole sa parole, n’ayant plus la faveur de sa calège aux bas de dentelle, les querres le cloître plus qu’elles ne l’isole… Je serai ravi, d’une obscène et timide pensée, de regarder par le trou de la serrure lorsqu’il comble sa hampe par les veines vivifiée. Une mise en situation révère du boudoir, le profane voyeur acquittant la Pompadour par l’obsession d’être saint, nubile verge vu et revue par un chas d’aiguille. C’est une délicate et sombre peine, vivre de misères masturbatoires lorsque celles-ci sont parmi les étoffes, les joyaux de la princesse, tout en laissant choir son désarroi aux suaves griffes de la folie, derrière les murs se gaussent des instants sourds qui puissent aisément être affiliés à la dramaturgie. Il n’est plus de démence sans d’incoercibles éclats de rire, la gorge de sa défunte sur le billot est un plaisir se dégustant à foison, d’une auguste gourmandise… L’éclipse de la camisole sur sa noblesse fait ravage, Perfide la cou-de-jatte laissa jadis feindre ses délicats sens en bacchanales ; pour tout faire rentrer dans l’obsession orgiaque, par souci d’opulence laissait ses propre doigts tournoyer en l’humide, spectre s’inspirant d’un feu grégeois collant la cour, sa triste éminence brûlera pour des lustres de feu les réjouissances malsaines de sa dame. Le mal l’assiégeant avec une envergure souveraine, le trône creusé par son large séant, ses yeux se délaissent au vide qu’ils fixent sans répit, et, oubliant la cour jadis en pavane et maintenant en arabesque, il embrassa que tout ce qui, de folie et d’abdications vit sans trêves ni culottes, se voit jouir d’une existence hurlante et tourmentée. Le sceau profané d’un foutre bleu, il mourra en face à face avec ses affres charnel, riant dans un dernier souffle de la putain aux bas de dentelle.
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