le poète n’avait vécu que dans son esprit
depuis sa naissance
un jour il avait pensé à sortir de la oppression de la pensée
il espérait rencontrer une vraie femme
(jusque alors il n’avait que connu femmes virtuelles)
mais il avait peur
sa mère avait dévoré son mari,
son père,
comme une veuve noire,
la même, la grand-mère, mătușa Clarisse, toutes les femmes au famille aussi
sans exception
comment assumer lui-meme un tel risque, sachant tout cela
mais la vie, la vie exigeait ses droits
et comme il donnait son âme dans les bras de sa femme
il ne réussissait qu’ à retourner à l’esprit avec la pensée
laissé sans corps
une idée vide, frivole
incompréhensible dans la langue de Descartes
elle avait écrit dans son journal, du coeur, près d’une larme…
Contu Aurel
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Beau partage Contu bravo
Un texte qui porte à réflexion. C’est agréable de vous lire dans ce style. Merci Aurel
Voici un texte touchant et authentique ! Je vous en remercie.
Beau texte qui sent le vécu quelque part.. cela ne peut-être que vrai..
Philosophons donc sur cela…
Anne