Que vous êtes belle
Ma tendre Isabelle
Vêtue de votre robe à dentelles.
Abritée sous votre ombrelle.
Sous ce ciel bleu azur
Vous êtes si pure,
Entourée de ces jeunes demoiselles,
Blanches tourterelles,
Qui volètent à tire d’ailes.
Permettez que je vous baise la main
Je suis certes, un coquin
Mais de vous, j’ai faim
Saurais-je attendre demain?
©Iris 1950
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Tout frais et charmant ce petit texte.
Anne