QUAND MEURENT LES ROSES
Après la tempête quand meurent les roses
les mots ne sont plus dans l’ombre des choses!
Qui peut croire que la beauté d’une âme
n’est pas un sanglot brisé par la flamme.
Le poète accablé se réfugie dans le silence
comme un aïeul tombe dans la somnolence!
Ce monde habité par l’écume et la haine
porte malheur aux peuples qu’on enchaîne.
je me méfie des floraisons aux soirs ailés
qu’elles soient solitaires ou d’autres écoles!
Le peuple est là pour célébrer le temps zélé
quand les prophéties plient les branches molles!
Je ne crois plus à ceux qui parlent de ferveur,
savent-ils encore ce qui agite mon âme?
Les jours s’en vont que vole le rêveur
ils me poussent à être plus fort que la lame
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Ces roses si belles et si fragiles méritent une attention utile ! Malheureusement, malgré tout l’amour dont on l’entoure, une rose reste une rose et, comme disait le poète :”Et rose elle vécut, ce que vivent les roses, l’espace d’un matin”. Merci pour ce partage fleuri malgré l’ombre de tristesse qui l’assombrit !
Oui dommage que meurent les roses, parfum si ennivrant les soirs d’été lorsque le soleil vient chez nous se coucher. Belle et douce journée. IRIS
Merci pour ce partage. Votre texte marque la mémoire. Il est magnifique