Il est des jours de brume
Où les pensées gravitent, se confondent
Où cette affligeante amertume
Résonne en moi comme une onde
Où la poétesse, soudain s’abandonne
Fatiguée de toutes ses pensées effrayantes
Qui affluent dans ma tête, résonnent
Et qui sans cesse, me hantent
Alors que mes visions inexorablement glissent
Sur cette page stérile
Sous les battements de mes cils,
De larmes, mes yeux s’emplissent.
Son visage m’est soudain apparu
Tel que je l’ai imaginé
Tendre et pourtant tendu
De vouloir toujours chercher
Cet équilibre nécessaire à sa vie
Ses réponses sur le véritable amour
La fin de tous ses conflits
Qui le hantent encore chaque jour.
Alors la poétesse enfin s’abandonne
A ses rêves doux et rassurants
Où enfin libéré, il lui donne
Cet amour qu’elle espérait tant.
L’amour est miraculeux , dégage le chagrin nébuleux …Très beau poème !
Bonjour Gyslaine bravo j’ai adoré ma lecture très beau et sensationnel poème.
Mes amitiés
Fattoum.
Savoureuse oui certainement (rire)
Quel doux abandon où abonde l’amour en retour !
Merci, chère amie, pour le partage de cette posture amoureuse qui ne peut être que savoureuse !