Poète à ses muses – Erwan Le Faucheur

 
Muses du passé gravées sur le papier me rappel à Julie la ténébreuse, Elodie tout en mélancolie,Céline la sacrée trois ans tout près des sourires malicieux aux défonces le doigt bien levé a qui vous savez.
Vous m’ avez élevé à jamais sans l’appel d’ envie mal heureuse qui dans vos lits toujours la bête surgie, mesquine, ancré depuis bien longtemps, vient chuchoter quelques délires anxieux effacé par le merveilleux de vos fragilités.
Aujourd’hui donne moi tes cries, tes mots que coule une dernière fois la larme de l’ obscur romantique le bras tendu vers les cieux,l’ esprit en son enfer.
Aujourd’hui tes écris, la lame sur la peau, sans chi-chi ni manière comme une arme des plus sure ,atypique, détenu au creux de l’inattendu de ta vie à le gout de l’ amère.
Trop lourd, ta poésie arrache mon esprit au delà de tout ça!A mes yeux chaque jour la morosité des fantômes sans intérêt.
Non plus sourd!Sache tout le mépris déjà pour ceux qui donne la nausée à mes tomes qui aiment les imparfaits.
Du bout du clavier petite fée des mots tu as redonné vie au p’tit poète perdue dans ce quotidien des riens.
A bout l’ écorché apathique renais tell un flambeau près a brûlé l’ infini en quête d’ autre âme déchue la cicatrice en son sein.
14/05/2017

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Plume de Poète
Administrateur
15 mai 2017 8 h 41 min

Merci Erwan pour ce partage poétique !
Les mots viennent souvent après les maux et on se rend compte qu’il faut toujours tirer du positif dans le négatif, c’est aussi ce qui fait avancer..
J’apprécie l’originalité de votre écriture qui engendre bien des réflexions.
Mes amitiés poétiques,
Alain