Je suis assis avec elle et je les vois passer.
Je leur parle et ils ne m’entendront jamais.
Est ce à cause de toi, qu’ils ne me voit pas ?
Connaîtrais tu le pourquoi de ce je ne sais quoi ?
Tu partages ma vie depuis si longtemps
qu’il me semble que cela fait mille ans.
Tous les jours, tu dis être ma meilleure amie,
et tu ne peux t’empêcher de détruire ma vie.
Les degrés que tu m’apportes quand il fait froid
m’empêche souvent de pouvoir marcher tout droit.
Une nuit d’hiver tu me borderas tellement bien
que mes yeux resterons fermés au petit matin.
Bien sur que je t’aime, mais est ce un amour réel ?
Je suis ensorcelé devant ton culot belle demoiselle.
Je ne sais plus d’où tu es ? de bourgogne, de bordeaux,
où bien du Rhône mais avec toi je soulage mes maux.
Parfois je rêve qu’un jour je serais plus fort que toi.
Cela ne dure jamais longtemps car le soir j’ai froid.
L’interminable processus destructeur recommence
et moi la modeste cloche, je rentre dans la danse.
Passe, repasse, regarde moi et ne me juge pas.
A ma place serais tu meilleur ou pire que moi ?
Assis comme une cloche à boire mon litron,
je te jure, j’ai rêver mieux comme vocation.
Votre écrit me fait penser à mes maraudes…… De bien beaux mots, des sourires qui aident, et des mots qui réchauffent bien des cœur,
Très touchant ce poème sur les oubliés de la vie
Très bel et émouvant portrait de ces invisibles qui parcourent nos rues et qui ne demandent parfois qu’un regard, un mot, qu’on les appelle par leur prénom histoire de leur dire qu’ils sont partie intégrante de notre belle société…
Merci de donner des mots et un visages à tous ces gens qui nous tendent des miroirs à regarder d’urgence ! bonne journée Chris
joli texte d’une triste réalité cordialement Marianne
pas mal…j’aime les poèmes qui traitent des choses de la vie, belles ou moins belles !