Nuit de printemps
La lune et la nuit, ce contraste lumineux
Comme ocelle du ciel qui voûte mon lit
Il pâlit mes draps le croissant volumineux
Et scelle des évasions claires et infinies
Toutes les lueurs de la nuit nous éclairent
Animent les rues si ternes et jaunâtres
Des étoiles pour néon de lampadaire
S’atténuent au réveil du plus grand des astres.
De ces vagues bleutées, vernies et vernales
Luit le bel empyrée, presque inaccessible
Comme l’orchidée qui déplie ses pétales
Le ciel si brut apparaît immarcescible
Aldrick LM
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superbe j’aime beaucoup