J’ai fait ma nuit en deux fois, me réveille avec le sentiment que les gens sont tous des êtres différents, très différents, un peu des races d’animaux chacune variée aux aspects proches et qui mériterait de les juger, seulement en homme averti, analyser ces êtres civilisés qui arrivent à parler la même langue mais très rarement à fusionner.
Je remarque du respect de certains, acceptant la différence, sans pour autant en faire la leur.
La société de mon oeil est plus une convention régie par des lois que cohérente. Chacun plie à cette convention sans vraiment y adhérer, étant généreux par échange, donc non pas généreux, mais dans une relation de troc dans tout ce qu’ils font.
Les généreux y sont dépouillés de leur biens, de leurs savoirs ou de leur libre arbitre, perdant leur dignité et ne survivant que mal par le peu de cohérence, cohésion de la société, pour finir ignorés.
Seuls ceux qui dominent survivent, les plus intelligents, les plus colériques, les plus pervers aussi. Heureusement il reste une part de mérite et de chance aux individus.
La part de la famille est un héritage, en bien (bon) comme en mauvais.
La part de la nature, les êtres humains n’en ont que très peu conscience (chacun dans son petit microcosme ou aussi sa planète) étant très évolutive, très interractive.
Neimad Siobud