Ton nom
Ton nom sur l’étendard a fait trembler les rois,
Qui t’avaient opprimée jusqu’à porter la croix,
Franchir les continents et traverser ces lieux,
Où chantent les enfants sous l’éclat de tes cieux.
Il est de ces lueurs qui naissent sur tes pages,
Fixant à l’encre noire de la main des sages,
La douceur de ta voix au berceau de nos rêves
Ignorant le répit et le spectre du glaive.
Ton histoire se lit sur les livres du temps,
Où maintes épopées dans les mémoires d’antan,
Attendent le retour de l’écho qui se perd,
Dans les méandres lents des siècles qui se terrent.
Tu pris la main tendue qui sauva de l’abîme,
Tous les désespérés qui chanteront ton hymne,
Quand remontent les vagues du cruel océan,
Émerge liberté sur un radeau géant.
© 2017 – Adrien Benoir
Magnifique écrit, pour ne pas oublier, que cela à bien existé..
Anne.