Lorsque tu te glisses dans les draps
Et, que brusquement Morphée t’emmène dans ses bras,
Imagines-tu un instant
Ce que tu vas vivre soudainement.
Certainement pas, tu glisses doucement,
Vers des contrées obscures.
Ces rêves peuvent être charmants ou durs.
Tu t’enfonces dans les profondeurs,
Alors surgissent tes peurs.
Tu ne sais pas nager,
Et, brusquement la marée,
Envahit ton espace, et tu coules.
Tu cherches en vain une issue
Dans le plafond vers le grenier.
Tu crois que tout est réel,
Que tout est perdu et tu te réveilles.
En sueur tu sors du tunnel
Ce n’était que rêve
Et, enfin c’est la trêve.
Le cauchemar est fini
Enfin tu revis.
IRIS 1950
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Merci, chère amie ! Je dois t’avouer que j’ai eu peur à la place du dormeur !
Amitiés.