Ce brave si aimable, devenu mon ami
Je l’ai connu un jour par un heureux hasard
Il était sur une chaise, assis devant chez lui
En passant par là, je perçus son regard
Son salut et le mien fusèrent en même temps
Vinrent la discussion et les sujets du jour
Il parla sagement, il disserta longtemps
Et me tenant la main, s’exprima sans détour
J’ai appris ce jour-là comment un homme bon
Peut être incompris par ceux qui sont autour
Je le revois souvent, parlant sans allusion
S’exprimant dignement, remerciant Le Seigneur
Je partage avec lui ce que j’écris parfois
Il nous arrive aussi de parler d’un auteur
Sa culture est immense un peu comme sa foi
En un monde meilleur qu’il espère de tout coeur
Ainsi vivent les humbles et il en fait partie
Cette race qui disparaît sur la pointe des pieds
Oeuvrant sans relâche et sans contrepartie
Respectant le contrat moralement signé.
” Cette race qui disparaît sur la pointe des pieds ” Oui …Au début dans le faux royaume de l’amitié confiant on s’assied , le temps vient pour identifier le faux et le sincère joyau pleure de douleurs , pleure pour tant de menteurs de profiteurs …Le temps vient et nous montre les vrais qui gardent leurs traits et confirme qu’il y a et y aura toujours des bons et des mauvais …Très bel hommage poétique à cette homme cet ami authentique !! Bravo poète d’honorer cette perle rare …Douce soirée Brahim :)
Voila qui me rappelle une Rencontre présidée par le hasard et introduite d’un sourire ! Combien de grand ami laissons nous passer sur le chemin, juste parce que l’on n’a pas su regarder ! Merci Brahim pour cette belle rencontre.