Le dédoublement de la personnalité
Se balance entre la négation et la confirmation de soi dictée par l’esprit en trouble dissociatif.
Le cerveau est victime souvent des troubles fréquents de la mémoire.
Le cerveau veut se protéger en créant des personnalités multiples.
Cette pathologie mentale du souvent à des traumatismes survenus depuis les jeunes âges des patients selon des diagnostiques des psychanalystes.
Selon mon avis on doit prévenir cette maladie depuis le jeune âge de nos enfants en leur protégeant des chocs et des traumatismes. Car les enfants sont trop fragiles. Et ils sont en état de développement.
Souffrant des problèmes émotifs, l’esprit invente ce dédoublement de la personnalité.
Sommes-nous tous des schizophrènes pacifiques vus nos changements perpétuels de nos états d’âme ?
Parfois on est content et d’autres fois on est triste ou solitaire.
Ces phénomènes sont difficiles à comprendre de nos jours.
Peut être viendra le jour où on comprendra le mystère de l’esprit. Qui développe des personnalités multiples.
Le stress très fort fragmente la personnalité en plusieurs personnalités, deux, trois, ou beaucoup plus.
Les malades de ce phénomène sont terrifiés, sont troublés. Et ils ne sont plus maîtres d’eux même.
Éviter les abus pendant l’enfance afin de ne pas tomber dans le dédoublement de la personnalité
Le plus souvent on traite l’enfant comme une chose, ou une petite personne qui ne comprend pas beaucoup de choses.
Par contre pendant les trois premières années la personnalité de l’enfant se forme. Et pendant qu’il est dans le vendre de sa maman. Il écoute et il enregistre tout dans sa mémoire.
Pour guérir de cette maladie on doit tourner le dos à ses tragédies pendant l’enfance.
Les hallucinations et les angoisses se diminuent grâce à la prise des médicaments afin de traiter ces schizophrénies.
Pendant la guérison les multiples personnalités se fusionnent dans une seule personnalité.
Le patient intègre sa personnalité d’origine. Et il devient une personne à part entière.
Le patient selon les études cliniques , n’est pas épargné d’une nouvelle maladie de dédoublement de la personnalité.
© Fattoum Abidi
5.11.2017.
Bonjour Fattoum,
Je viens par hasard de tomber sur votre texte. Possédant moi-même le don de personnalités, je ne saurais que trop vous conseiller de vous garder d’avancer tant d’apriori sur la dissociation et la schizophrénie, qui rappelons-le ne sont pas la même chose. Réduire l’enfance, l’esprit, à des victimes et le don de conscience à une maladie ne peut que mener aux dérives qui vous poussent, probablement inconsciemment, à considérer les personnes touchées par la grâce à de simples patients qu’il faut soigner, et nous savons que la grâce susdite ne se manifeste pas seulement au travers de traumas… Ces traumas existent, bien sûr, mais jamais un cocon de coton n’en a protégé qui que ce soit.
Pousser l’individu à la négation et à la médication, pire, à la considération de ses strates en tant que mal de l’esprit me paraît bien violent. Il n’y a pas de guérison médicamenteuse, seulement un ou des meurtres, et de fait d’autres traumas générés. La logique voudrait ainsi qu’il n’y ait pas de maladie. Nous cherchons la solution à un mystère qui n’en est pas un, et une personne ne devient pas, elle est, voilà tout.
Mes amitiés,
M.