Et ma petite lyre
Tout emmitouflée
D’une sorte de délire
Parut essoufflée!
Que ton amour soit
Á ce songe échu
Une unanime soie
sur mon corps déchu!
Laisse-moi te plaire
Aux brûlures vives
Je veux satisfaire
Ta faim admirative!
Que femme, tu sois
Á ma pensée prise
De l’unanime soif
Ma sourde surprise
Ne déchaîne pas
Dans mon cœur vide
Le charme de l’appât
Ton unique guide
Que ta force soit
De l’éternelle richesse
Ce qu’humble je reçois
Une agréable promesse!
©G Cambon
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De jolis mots et une musicalité qui riment si bien. J’en ai apprécié la lecture. Merci.