Cernée de verdure,
De sable fin et doux,
Fermée par un mur,
Toute blanche partout,
Ouverte sur le ciel,
Le jour on découvrait
Le jardin, le soleil,
Les oiseaux qui volaient.
Puis le chant des oiseaux,
Et tout près l’océan,
Réglaient le concerto
De ce tableau vivant
.
Et cet écran géant,
Les soirs de tonnerre,
Etait impressionnant
Dans le feu des éclairs.
Mais dans l’intimité
De ma douce maison
Cherchant ma vérité,
J’en perdais la raison.
J‘imaginais souvent
Entendre résonner
Le pas de mes enfants,
Qui venaient d’arriver …
.
©Simone Gibert – 7/11/2018
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très belle écrit et très belle maison
on dirais les Antilles.
de vos mots, envie d’y habiter. Bravo
Anne
Touchant de simplicité retrouvée et troublant d’une quiète quotidienneté perdue. Merci et bravo…