je me sens en vie de te sentir près de moi.
Ô, fleur d’amour, que cueillent mes doigts incertains,
A l’heure éphémère où naît la rosé du matin,
Aimes-tu cette tendresse qui cherche ton émoi ?
Laisse en ton sein, pénétrer ces doux mots
En toi, qu’ils se répandent sans aucun heurt,
Puisses-tu ressentir, au fond de toi, l’impérial sceau
qui scellera à jamais l’ivresse du bonheur.
J’éprouve un ardent désir de te prendre dans mes bras,
D’étreindre contre le mien ton corps si délicat.
Le sentir sous mes assauts s’animer, gracieux,
Tandis qu’ensemble, nos regards se tournent vers les cieux.
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©Kevin Casimir – 09/08/2018
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Bel écrit que celui là.
Anne