Vieillesse
Ou seras – tu quand je ne te reconnaîtrais plus
Pourras – tu me supporter sans t’énerver
Toi qui m’a aimer dès que l’on s’est croisé
Resteras – tu près de moi à prendre soin de moi
Ma jeunesse évaporée ,ma mémoire effacée
Me regarderas – tu toujours avec autant d’ amour
Me prendre dans tes bras comme la première fois
Me regarder vieillir et perdre nos souvenirs
Aurais-je droit à des caresses ou des gestes de tendresses
Resteras -tu à mes cotés et à me protéger
Me parler doucement sans savoir si je te comprends
Arriveras – tu à me regarder dormir et à me voir dépérir
Te lever chaque matin et voir mon chagrin
Perdre ma mémoire,accepter mon désespoir
Si cela arrivait un jour ,merci mon amour
D’avoir été là tout le long de ma vie et d’avoir été mon mari
Mimecrit
J’ai écrit un poème sur la maladie d’Alzheimer que je publierais plus tard. Bravo à vous pour votre écrit. Belle fin de journée. IRIS
Un retour de tendresse, tel un flot!
Adrien.
c’est beau, savoir dire les choses avant qu’il ne soit trop tard comme “je t’aime”, “tu comptes pour moi”, ou simplement “merci”. Voilà un magnifique message pour les vivants que nous sommes. Merci Myriam !