L’histoire d’un dauphin et d’un oiseau des îles (Carillon)
Mon amical dicton pour une femme unique,
Sans cesse dans mon cœur, mon éternel oiseau
Elle écrivait des mots sur son humble réseau
Pour un dauphin de France une ode symphonique.
En flottant sur la mer je regarde le ciel,
Là-haut miss se repose à l’azur Martinique,
Son îlot éternel à l’odeur doux du miel
Tel son affection, oh, qu’il était pudique.
Sur le sable surfin au centre de son île
Son visage apparaît, aspect matériel,
M’évoquant son regard, droit et célestiel,
Le miroir de son âme en image subtile.
Son lied musical, qui vibre dans mon cœur
En un éternel deuil sur le ravin d’un pleur,
À ma douce colombe oh belle Anne-Marie.
On surfait sur le net, échange virtuel,
Tout en délicatesse en accord mutuel
Que je n’oublierais pas, non, jamais mon amie.
Une étonnante fable entre deux flots distincts
D’un bel attachement au seuil de nos destins
Jusqu’au jour où la mort éternisa ta vie.
Béatrice Montagnac
Quelle douceur pour un si bel hommage.
pour une symphonie inachevée.
Tendresse douceur et encore au rendez-vous malgré l’absence
je dirais même plus. peut-être grâce à lui
Les souvenirs ne s’effacent jamais.
bien bel Ode
Amicalement
Anne