Dans le bleu de l’immensité je cherche cette heure perdue, ce moment d’inattention où j’ai attendu cet homme qui n’est jamais venu.
Je lui aurais offert plus qu’une heure Je lui aurais offert le temps qu’il voulait sans compter.. j’aurais pu lui offrir ma jeunesse j’aurais pu lui offrir mes rires je lui aurait confié mes espoirs, mes envies., mes chagrins. mes fantasmes mais il n’est pas venu.
Devant cet océan de bleu. Je suis à la recherche de cette heure perdue ; Si vous vous promenez au bord de cet océan, si vous avez du temps à perdre et que vous apercevez quelque part sur un banc un espoir perdu, Il se peut que ce soit le mien. Mais je n’ai plus de temps à perdre.. Laissez-le filer au grès du vent….
©2014/07/25 Anne Cailloux : Texte et Tableau |
Que j’aime ces incertitudes, ne pas être où on vous attend et se faire désirer à force d’attendre..
Il y a des gens qui jouent de malchance, ils ne sauront jamais ce qu’ils ont perdu et d’autres encore ont de la chance…en ne connaissant pas ce à quoi ils ont échappé….j’aime beaucoup ce texte….
Bravo Anne beau et touchant texte,
Mes amitiés
Douce nuit
Fattoum.
L’attente de fils d’espoirs nos désirs les plus chers… et découd tout autant la trame des réalités.
Merci de nous le rappeler
Christian
joli tableau, jolis mots
oui, parfois l’espérance se perd de ses heures d’attente
Bise
Ol