Il y avait toi et moi.
Mes sens aboutaient le paradoxe de mes sentiments confus et contradictoires.
Je me surprends à t’ ébaucher des rêves d’ éternité, unies dans une accorte harmonie aux couleurs du ciel.
Je t’aime hors du temps et du monde des mortels.
Tu as abrité mon âme par ton souffle, et ta voix ne souffre pas l’achrome ingrat et qui bannit toute nuance.
Ton parfum rejoue à l’infini un air juvénile, et accroire ce dernier serait aliénant.
Anne Camby
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