Les traces de regards des piétons – Abdullah Karabag

Je sais un sentier lequel s’était posé de pavés en pierre

Il s’éloigne de la campagne à un carrefour de banlieue

Où mon enfance innocente a tombé dans sa poussière,

C’est un corps qui n’est devenu que plus pareil au lieu.

 

Je sais une voie romaine dans laquelle unit tout passé

Elle se réfléchit aux feux tricolors de cette exposition

Dont la tourbillon illuminée, qui subit un grand cassé,

C’est un événement qui n’ouvre pas à aucune décision.

 

Les jours toujours même sur les pavés pour les pieds

Les traces de regards des piétons, qui sont d’habitude

Par laquelle que, je me prolonge en temps aux pieds,

Ce sont de l’évocation, de l’énonciation, à mon étude.

 

On dit que tous les passages sont de roche et de béton

En tant qu’il n’y a pas de caillaux dans les chaussures

Dont les semelles n’aiment que les places aux piétons,

Ce sont de côtés latéraux de rues, qu’ils nous assurent.

 

Le fardeau des ans toujours même sous le firmament,

Le temps de pavés se laisse emporter par les trottoirs

Donc, le mot de passe de l’installation au revêtement,

Cette clé littérale qui est enregistrée à mon répertoire.

.

©Abdullah Karabağ – 02/07/2018

 

Nombre de Vues:

27 vues
Sauvegardes Poèmes

Sauvegardes Poèmes (4)

Ce compte regroupe tous les poèmes des auteurs qui ne sont plus inscrits sur le site en tant que Membre afin de laisser une trace de leurs textes pour le plaisir des lecteurs depuis le site Plume de Poète.

S'abonner
Me notifier pour :
guest

1 Commentaire
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires
Invité
3 juillet 2018 10 h 42 min

Merci beau poème
mes amitiés
Fattoum.