Sarah ? Que de difficultés tu surmontes ! Dieu
Le sait. Tu as un coeur sensible qui, néanmoins,
Te pousse à te résigner, beaucoup, bien moins.
Ainsi, je vois les larmes te monter aux yeux.
Ô tristesse ! Ô obsession ! Ô désagrément !
Je regrette bien de l’avoir fait avec zèle,
Avec beaucoup de dévouement comme une telle,
D’avoir mis et couché tous sur mon testament.
Je pousse des cris de ma dernière demeure,
Des cris plaintifs d’une femme de bonnes moeurs.
Je caresse complaisamment un rêve amer :
Celui de justice et de si bonne équité,
Si tardives, je crois, ainsi que de bonté
Divine pour toi, ta fille,… et surtout ta mère…
Note : ce poème fait partie de mon roman intitulé “Sarah Laderway”.
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