À saveur d’été, à saveur d’hiver
Au cœur du printemps, qu’il y est un peu de vert
Au rythme de l’automne, que les feuilles se colorient
La marche des saisons, c’est comme une euphorie.
Si calme, si doux , si apaisant
Ce qu’est le sifflement du vent
Si inharmonieux, si irritant
Ce qu’est le grondement du vent
Cette air que transporte le vent
N’est plus aussi pure qu’auparavant
Mille et une fois où nous l’avions enivré de nuages noirs
Notre air n’est plus qu’au désespoir
Devant un tel désastre, on ne peut qu’être aveugle
Ce n’est pas seulement d’être espiègle
Mais l’homme voit bien tel qu’il est voyeur
Et pourtant devant les problème, tous regarde ailleurs.
Ah, la douce chaleur bien aimé
Au plus grand malheur, elle va s’amplifier
Au revoir pays du sud
Qui partiront dans un climat de vicissitude
Pays du nord en désolation
Par de millions d’inondations
Encore une fois, nous restons aveugle
La symphonie de la nature
Mon cœur s’extasie de plénitude
Mon bonheur prend une telle amplitude
Entendant le doux son harmonieux du vent
L’eau de la rivière affluant tranquillement
Les oiseaux pépiant un air enchanteur
Mon esprit sort de mon corps et danse au rythme de mon cœur
Libéré des maux de mon corps
Mon âme en pleine effervescence, je m’emporte d’un doux confort
Quelques instant avec cette mélodie euphorisante
Pour que chaque seconde devienne apaisante
Et qu’au delà la pensée vienne afflué la tranquillité que procure la nature.
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