Rasheed était dans son campus tous prés
De sa fidele femme Zubaydah bien aimée
Abu Nawas le trouva inquiet dérouté
Il savait qu’il était occupé de pleines activités
Son administrateur le conseilla et lui dit:
Pourquoi ne pas saisir le plaisir de la vie ?
En face de vous ces femmes en toute beauté.
Tirer profits des délices de ce paradis.
Il ajouta description et tentation.
Alors Haroun retrouva de la sensation.
zoubeydha réagit par crainte et jalousie
Elle se manifeste en douceur et sans courtoisie
Sur le campus Rasheed est allé à son épouse
Il ne la trouva pas agile à son guise
J’ai jamais eu quelque chose et encore
Valait mieux lui faire des reproches, des remords.
Elle se leva de sa présence en colère
Incita Certains fiduciaires d’allez battre,
Le poète Abu Nawas dans sa demeure.
Infliger une raclée à ce conspirateur.
Dans sa maison Ils l’ont battu à tiges
Il est souffrant et malade de vertige
Un mois après, Certains serviteurs l’ont trouvé,
Affaiblit, Au Palais du Calife ils l’ont conduit.
Rendu compte que Zubaydah détourne audience
Y a t-ils des nouvelles a raconter dans ta présence?
Quelque chose au sujet des femmes et de leur beauté
Le poète méfiant: rien à dire juste le gout amer de la vérité.
La monogamie me fascine dans la vie elle est banale
Adéquation d’un couple et modèle idéal
Vivre en paix, servir son peuple et sa dynastie
Au lieu de poursuivre les femmes et les délices infinis.
Rasheed: Malheur A Aba, Nawas ce maudit!
Sortit son épée voulant tuer le Poète,
Derrière le rideau une délicieuse voix fluette
Abu Nawas Vous n’êtes pas causé elle dit –
Tu as réussi ! personne n’alla te pourchasser
Le roi non convaincu ,il a su ce qui s’est passé
Pour le poète ce ne sont que des mots
Ils lui ont apporté les douleurs et les maux.
Primé, il lui cita de ses merveilles en vers bien rimés:
J’ai été frappé par la catastrophe une fois dans la vie
Mais de la main de ma maîtresse Zubaydah ta chérie
. Ils Riaient tous Les deux, et lui accorda d’autres prix..
ce conte n’est pas tiré des mille nuit et nuit mais du patrimoine de l’apogée civilisationnelle de la periode abasside du calife Haroun Errachid