Au diable mon écran
Mon clavier et les touches
Devant ce cœur si grand
Qui bat et qui me touche
Son souffle a emporté
Mes voyelles et consonnes
Puis il les a jetées
Sans consulter personne
Mon alphabet se perd
Il part à la dérive
Mes idées sont en l’air
Devant ce qui m’arrive
Ses mains, sur mes épaules
Ô divine douceur
Sont deux feuilles de saule
Du genre plutôt pleureur
Le poème vivant
Prend la place de l’écrit
Un moment captivant,
Volontiers, j’y souscris
B.Boumedien le 15/9/2013
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Bravo à vous Brahim pour ce moment de lecture. Belle et douce soirée. IRIS