Le cerf et le musc……….par Khadija Elbahar (plume de marin)
Je te vois douleur marcher prestigieuse….
Cerf que suis je…..
En lançant le drapeau de victoire….
De milles chimères……
Des gardiens démons…..
Qui rôdent près de chez moi…..
Pour extraire le musc…..
Comme les rois…..
Et moi oui moi …..
Qui a édité des chansons…..
Motivante de liberté…..
Comme une lionne dans l’anesthésie…..
Je me trompe souvent…..
Simplement je suis naïve……
Depuis hier je me rappelle plus…..
Que je dois suivre les nuages ….
A travers les trous….
De mes fenêtres en fer …..
Il y’a de l’herbe et un verre d’eau…..
Quelque images et des fuck news…..
Que je critique toujours…..
Dans la confusion je suis innondée…..
Sans savoir quand ils finissent le drame…..
Et tire de moi le musc qu’ils cherchent…..
Que les gens ne savent rien…..
Le jour des fleurs ont fait un départ…..
J’ai oublié la couleur des rues…..
L’inquiétude et mon stress…..
Font le bonheur à l’autre…….
En réalité…dans ma cervelle sont marqués……..
Les jardins des fleurs interdites…..
Qui poussent souvent dans le desert……
je suis le pauvre cerf…..timide…qui ne mange pas…..
Dans ce globe des interdits……
Je ne sais où je pense rattraper…..
Ma très chère liberté…..
Rien ne vaut cette belle étoile…..
Très loin qui peut me persuader…..
Mes cornes sont courtes…..
Ne peux pas combattre…..
Le mur en fer bien forgé…..
Je suis nulle dans la courtoisie…..
Ou de négocier au monde noir….
Je vis coincée dans mon lit…..
Le jour en continuité avec la crépuscule……
Mes essais de voler et de sauter…..
Sont tous des échecs……
Qui me grondent la nuit……
Cet intrus dans mon monde…..
Qui me capture gentiment…..
Chez moi et c’est mon choix….
Le monde réel qui a chassé….
Le rêve très beau de mon soleil…..
Qui vole triste sur ma toile….
Le ciel pitieux change de couleur…..
Blanc gris et bleu si beau…..
Il me manque …..le papillon…..et les fleurs sauvages…..
De grande montagne et du lac des cignes……
J’ai changé mes convictions……….
D’être heureuse pour sécrétion…..
De mon corps et mon âme……
Le musc que l’autre cherche pour parfumer………
Son monde magique de paradis virtuelle…..
J’adoucis le ronce et je dis rien…..
Il me suffit une poignée d’herbe et ma liberté….
Qui m’éloignait de cette sensation quotidienne……
Comme le cauchemar…..
Vient de l’inconnu…..
D’un châtiment non calculé….
Des taxes de la boîte noire….
Que je dois payer ou quitter……
Quand je ne peux plus supporter…..
Ils vont me tirer dessus….
Quand la peur me possède de plus……
Et l’horreur couvre ma volenté…..
Je suis le cerf au très beau regard….
Et ces monstres n’ont pas de yeux……
Pour voir la créature de Dieu…..
Je suis partie de l’univers…..
J’ai un rôle entre les racines….
De la belle forêt du grand secret….
Que les vampires ne voient ……
Qu’une fausse lumière….
Une gourmandise vache qui détruit ……
Tout ce qui est beau sur leur chemin…..
Pour transformer la jungle …..
À un astre dégoûtant plastifié……
Par Khadija Elbahar (plume de marin).
Dans le confinement……
Le 29/04/2020.
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