Le « bac littéraire marocain », entre le mépris, la provocation et la vulnérabilité – Aymane Semmid

La branche de la littérature française au Maroc besoins un respect total. Respect pour ce contenu littéraire, respect pour les étudiants qui étudient cette branche, respect pour les enseignants qui font étudier cette dernière, et à ne pas oublier les littéraires, les écrivains et les poètes francophones.
Le « bac » au Maroc, mais surtout le « bac littéraire marocain ». C’est nul n’est-ce pas . Nulle pour la majorité des Marocains. Ils disaient que ça apporte du malheur, du désespoir, une trajectoire sans but, sans succès et sans récompenses.
L’éducation de cette branche est inexistante sur les écoles privées. Néanmoins, sur l’école publique marocaine, on peut trouver des exceptions. Peut-être ils la considèrent comme une branche échouée
Le manque de soutien pour les écrivains francophones, le manque d’éducation de la langue française du plus jeune âge sur l’école marocaine publique et surtout le manque de lecture sur la culture marocaine. Ce sont des problématiques qu’on doit les grimper et l’escalader pour y arriver.
Pour conclure, un petit message clair et limpide, arrêtez de salir une branche et mettre en ellipse une autre ! Arrêtez de mépriser le « bac littéraire marocain » ! Arrêtez clairement de mettre en valeur « Le Bac scientifique » et salir « Le Bac littéraire »

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