Seul, c’est vraiment trop capricieux
A deux, c’est un enchantement
A trois, c’est souvent chaleureux
A quatre, c’est comme éteindre un feu géant
Pleurs de rires, pleurs de douleurs
L’amour est-il un sauvage ou un roman ?
Tout le monde croit qu’il a bon cœur
Car il nous donne tout ce qu’il prend
Mais l’amour n’est qu’un enfant
Il voit les portes mais saute par les fenêtres
Trébuche sur notre précieux temps
Et s’en va en se moquant du bien-être
Comique noir ou dépressif blanc
Il ne passe pas un soir sans blesser
Il a pourtant des jours si passionnants
Si on lui enlève les doigts du nez
Il se nourrit de tous ceux qui l’embrassent
Possède des millions de pantins « Don Juan »
Se réfugie si rapidement dans sa carapace
Dès qu’il entend le mot « Maman »
Amour et enfant, quelle audace !
C’est ce qui te rend si attachant
Tout de même, quelle impasse !
Mais à qui es-tu donc, petit enfant ?
OMM
Bonsoir Oscar l’amour est enfant dans l’innocence au regard tendre
L’amour est aussi celui qui pleure dans l’abandon de l’oublie d’une vie derrière la portes de l’aurore
L’amour passion brûles les cœur et passe dans le vent
Le vrais est celui qui se construit chaque jour en tuant l’habitude dans la confiance et le respect
Ta poésie nous révèle bien tous ses aspects
amicalement
Béa