Derrière la vitre,
Un ciel bleu lumineux ;
L’oiseau est un pitre
Aux desseins fallacieux.
Ce coquin de merle,
Qui en courtes envolées,
Se permet de lâcher
Des fientes en perles
S’écrasant joliment
En gros nuages blancs,
Là ! Juste sous mes yeux
Gâchant ma vue des cieux !
La coulée gluante
N’est pas très gênante
Mais en fin de journée
La vitre est emmerdée.
Je ne vois plus le temps !
De la neige au printemps ?
Allez, je vous pardonne
Petits oiseaux en l’air,
Il n’y a que ma mère
Que mes carreaux chiffonnent.
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Elle vient me narguer la merlette, rigolant de son sifflet strident elle m’averti que le beau jour arrivant sera mouillé et délavé par une pluie jusque là non prévue.
Qui pourrait lui en vouloir plus prés des cieux que la grenouille elle reçoit ses info-météo de bien plus haut.
et puis par cette eau déversée peut être que vos carreaux seront lavés ?