La Stèle La Lettre et Le Rouge-Gorge
Le stylet acéré de l’avenir
Lacère la stèle du souvenir :
Cette lettre à la pierre de mémoire
Je l’aurai volée comme être au savoir
S’en est-il allé porté par le vent ?
Je le voulais rouge-gorge savant
Dérangeant les froids restes d’hiver
Avec sa voix les tranchant dans le vert
Car le grain pour sa présence est aux arbres
Il va au train de l’enfance qui sabre
Le temps en éternisant toutes fleurs
Où il devise – oiseau pour le bonheur
Rouge-gorge : être au trille qui ne s’oublie
Je reforge tous tes chants – les relie
A l’horizon emmanchant le lointain
Jusqu’à cette stèle où sonne mon teint
Florilège ne se clairsemant pas
Au travers des fuites de nos pas
On y abrège le temps des miroirs
Et construit le bel abri de l’espoir
Qu’il ne soit vraiment pas désenchanté
C’est en volant ce temps de liberté
A toutes les armoires du Pouvoir
Qui instrumente les voix du savoir
Stèle au cachet gratuit du souvenir
Je n’ai caché tout ton bruit d’avenir
Dans la nuit ardente elle ouvre au toujours
Que je garde en œuvre au soleil d’amour
Avec un peu de retard, je dois te dire que ton éloge me fait plaisir et me renforce … Venant de ta part , je suis encore plus honoré ! Je te souhaite bonne continuation dans tes œuvres et te dis à bientôt te lire … Excellente journée de mardi et pour toute la semaine : beaucoup de joie et tout plein d’amour !
Bonjour mon ami Alain bravo pour ce magnifique poème excellente journée