La plage s’étend au loin,
Blanchie par le soleil,
Il n’est aucun témoin
D’un instant sans pareil.
Les eaux de l’océan
Caressent le sable,
Qui, sous les pas, mouvant,
Devient impalpable.
Cette solitude
Sentie à fleur de peau,
Dans sa plénitude
La femme entre dans l’eau.
Cheveux aux épaules,
Elle semble rêver,
Et la brise frôle
Son vêtement léger,
D’un geste féminin,
En le serrant devant
De ses bras, de ses mains,
Quel tableau émouvant !
Sable fin, la plage
Au soleil se dore,
Ciel sans nuages,
Cette chaleur endort.
Les vagues moutonnent
Puis se perdent dans l’eau,
La rive s’étonne
De ce frais renouveau.
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Fraîcheur et promesse d’un émoi de la vague caressante….cachez se tsunami des sens que je ne saurais prévoir.
Félicitations